Notre histoire

C'est en nous perdant sur les hauteurs de l'île de Minorque que nous avons découvert par hasard en 2016 une magnifique ferme du 18ème siècle qui portait le nom de l’archange guérisseur « San Rafel ».

La végétation y était sauvage, les fleurs couvraient les collines et la vie vrombissait tout autour de nous. Nous sommes repartis émerveillés par ce spectacle sans savoir que quelques jours plus tard une connaissance nous ferait visiter cette ferme abandonnée et nous proposerait de la racheter. Ce fut une évidence et le début d'une incroyable aventure...

Sans expérience, sans véritable projet mais avec l'envie de faire revivre cette ferme, nous avons relancé progressivement l’activité agricole en nous concentrant sur les plantes médicinales de l'île et en créant notre propre filière horticole pour faire pousser nos plants.

Plusieurs années ont été nécessaires pour créer une exploitation qui intègre aujourd’hui la distillation et la culture de plusieurs essences endémiques et méditerranéennes.

Avec les premières distillations, a germé l’idée de créer un soin pour la peau d’une très grande qualité qui utiliserait une partie des actifs cultivés sur les terres de notre ferme.

Boténor qui tire son nom des mots « Beauté, Naturelle, Organique » était née.

Notre vision

En cultivant une partie de nos plantes et actifs depuis notre propre ferme, Boténor s’est donné pour mission de créer des soins naturels à l’efficacité remarquable qui protègent votre peau tout en sanctuarisant des terres.

Cette vision est le fruit de notre expérience et le résultat de nos efforts pour créer à notre échelle une filière agricole durable qui contribue directement à la fabrication de soins précieux.

Nous encouragerons notre audience à rejoindre notre cosmétique progressiste qui, sans tourner le dos à l’innovation, promeut une consommation durable qui changera, nous l’espérons, en profondeur la façon de faire et de concevoir le soin cosmétique.

Protéger sa peau et sanctuariser des terres est la vision circulaire et terrienne de Boténor que nous souhaitons partager avec vous tous.

Le label "Fermes Cosmétiques"

Il y à quelques années, nous avons réveillé une ferme "endormie" et dédié son exceptionnel terroir à la culture d’essences extrêmophiles dont les actifs rentrent aujourd'hui dans la composition de nos soins.

Afin de reproduire cette expérience unique et vertueuse, nous travaillons sur un label propriétaire dénommé « Fermes Cosmétiques » qui aura pour mission demain d'aider d’autres exploitations agricoles à vivre de leurs culture en sanctuarisant une partie de leur terre pour la cultures de plantes rentrant dans la conception d'une cosmétique naturelle et biologique.

Nous invitons notre audience à agir avec avec nous pour la construction de ce réseau de « Fermes Cosmétiques » dont le but est de protéger des terres et cultiver les meilleurs actifs naturels et biologiques dédiés à nos soins.

En protégeant votre peau nous souhaitons ainsi protéger la nature et aider les agriculteurs à perpétuer leur savoir.

A suivre (...).

Boténor a choisi de réduire au maximum l’usage du plastique dans sa politique de packaging.

Nos packagings primaires pour nos sérums et huiles sont constitués à 89,1% de matériaux recyclables comme le verre et à 10,99% de plastique recyclable (capuchon et pompes).

Tous nos packagings secondaires sont composés à 100% en papier issu de filière bois gérées durablement selon le label PEFC.

Pour notre crème hydratante, nous avons choisi une alternative durable au plastique conventionnel avec le matériau innovant Sulapac.

Ce matériau est principalement une combinaison de deux types de matériaux : le bois et des biopolymères biodégradables soigneusement sélectionnés et issus de sources durables (dont une proportion recyclée).

Contrairement aux plastiques conventionnels non biodégradables, après désintégration, le matériau Sulapac se biodégrade en CO2, en eau et en biomasse, également dans des environnements ouverts. La vitesse de biodégradation de ce matériau est comparable à celle d’autres éléments naturels comme le bois, ce qui signifie qu’il ne contribue pas à l’accumulation de pollution plastique.

Il peut être jeté en toute sécurité avec les déchets mélangés/déchets énergétiques. Lors de l'incinération, les émissions de CO2 et de CO sont moindres par rapport à celles du polypropylène (PP), par exemple.

Si le matériau Sulapac finissait accidentellement dans l’environnement, il se biodégraderait sans laisser de microplastiques persistants ni de charge toxique.